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Une maternité pour les cœurs brisés : accompagnement des jeunes mères abandonnées À Lubumbashi, dans un quartier périphérique, FOKEMUN a ouvert un espace d’accueil et de formation pour jeunes mères abandonnées.Elles ont entre 15 et 25 ans. Elles ont été rejetées par leurs familles, souvent après une grossesse non désirée. Certaines vivaient dans la rue. Pendant 6 mois, nous avons mis en place : Des ateliers de couture, cuisine, et fabrication de savon Un accompagnement psychologique collectif Des cours d’alphabétisation Une crèche solidaire pour leurs enfants Des kits de démarrage pour créer leur propre activité Le changement a été spectaculaire. Ces jeunes femmes, hier brisées, se tiennent aujourd’hui droites, fières, prêtes à affronter l’avenir. “FOKEMUN ne m’a pas seulement appris à coudre. Ils m’ont appris que je vaux quelque chose.”— Prisca, 19 ans Certaines ont depuis intégré des centres de formation professionnelle, d’autres vendent leurs produits dans les marchés de quartier. Mais toutes ont retrouvé une chose essentielle : l’espoir.

Des graines et de la fierté : l’histoire des femmes agricultrices de Kasumbalesa À Kasumbalesa, dans le Haut-Katanga, un groupe de femmes agricultrices autrefois marginalisées a repris le contrôle de sa vie grâce à un projet soutenu par FOKEMUN. Tout a commencé par un petit terrain communal abandonné.Nous avons organisé : Un atelier de formation en agriculture durable Une distribution de semences améliorées La mise en place de fosses de compost Un suivi technique avec un agronome partenaire Les femmes, souvent jeunes mères ou veuves, ont formé une coopérative. En 4 mois, elles ont récolté du maïs, du manioc, et des légumes, vendus sur le marché local. “J’étais dépendante de la charité. Aujourd’hui, c’est moi qui aide les autres.”— Assumpta, 38 ans Les revenus générés leur ont permis de :✔ Payer la scolarité de leurs enfants✔ Démarrer une épargne collective✔ Lancer une cantine pour les enfants du quartier La terre ne ment pas, dit-on. Et avec FOKEMUN, elle nourrit plus que le ventre : elle restaure la dignité.

Un dimanche pas comme les autres : fête à l’orphelinat de Lubumbashi Ce dimanche-là, le ciel de Kinshasa était d’un bleu éclatant. Mais le vrai soleil, c’était dans la cour de l’orphelinat soutenu par la Fondation FOKEMUN.Nous avions décidé d’organiser une journée spéciale pour les enfants : jeux, repas festif, distribution de vêtements et… une pluie de câlins. Tout avait commencé le matin par un atelier de dessin. Les enfants ont dessiné “leur maison idéale”. Certains y mettaient une grande table pour manger ensemble. D’autres, une balançoire géante. D’autres encore, une simple maman qui sourit.L’après-midi, la cour s’est transformée en mini kermesse : football, chants, chorégraphies improvisées et même un concours de blagues (spoiler : les petits sont très forts 😄). Nous avons partagé un repas chaud : riz, poulet, légumes et jus naturel. Pour certains, c’était le premier vrai festin de leur vie. À la fin de la journée, chaque enfant a reçu une tenue propre, une paire de sandales, et… une promesse :“Tant que FOKEMUN existe, vous ne serez plus jamais seuls.”